Baise en série pour amende non payée

Catégories : FANTASME
il y a 9 ans
Une histoire courte juste pour faire travailler l'imagination du lecteur.....

C’est de la prostitution en série cautionnée par l’état d’après les défenseurs des droits de l’homme. C’est un moyen de renflouer les caisses et de créer la bonne moralité que de punir ceux et celles qui essaient de ne pas payer leurs amandes répond le gouvernement passé en f o r c e aux élections de 2016.

Julie a essayé comme bien d’autres de ne pas payer ses amandes pour stationnement, il est vrai qu’elle les cumule et comme il n’y a plus d’argent sur son compte bancaire et qu’elle travaille au noir, les huissiers n’ont rien à saisir, la voiture étant un véhicule d’auto-partage.

Interpellée à 6 heures à la sortie de son immeuble, Julie s’est retrouvée sur ordre du parquet au centre de détention et de préparation au service public. La visite médicale imposée par le règlement est souvent musclée, les filles refusant de passer sur la table d’obstétrique et de se mettre nues pour leur incarcération en machine à baiser publique. Les gardiens musclés étant là pour faire obtempérer les filles, ils sont souvent obligés d’intervenir pour les f o r c e r à se laisser faire quitte à les menotter.

DEUX HEURE PLUS TARD

Le fourgon de police recule contre une des machines à baiser publique, où un sas permet d’intervenir sans que le public extérieur ne puissent voir ce qu’il se passe. Julie nue et menottée avec ses jambes derrière la tête est attrapée de f o r c e pour être installée dans un bac où elle va irrémédiablement glisser à cause de la position verticale une fois qu’ils lui auront retiré les menottes.

Elle a beau essayer de lutter, avec les bras maintenant attachées à ses pieds, quand il l’introduisent dans le bac en forme de tube elle ne peut échapper aux policiers qui la font glisser de f o r c e vers l’enfer. Ses fesses et son intimité sortent maintenant par la trappe de service, une sorte de rond permettant aux clients de venir baiser sans même voir le visage de la fille offerte. Julie n’a vraiment pas de chance, ils l’ont installée dans la dernière version des machines à baiser publique équipée d’un écran diffusant des vidéos pornographiques moyennant finances évidement. Dans la version précédente de ces machines inhumaines, les clients se retrouvaient face à un mur avec un cul en dépassant ce qui n’était pas f o r c é ment très motivant !

Là, ils ont accès à des vidéos puis des joysticks reliés à un ordinateur ce qui leur permet de faire caller la fille à la bonne hauteur, de la faire vibrer puis de commander une vidéo. Ces nouveautés annoncées dans la presse motivent les clients, sa journée risque d’être aussi rude que horrible.

NOUVELLE CABINE SUPER EQUIPEE

Pour le confort des filles condamnées, puis pour réduire les coûts du personnel, la cabine a été automatisée. Grâce à un système de tétine placée de f o r c e dans un bâillon mais ressemblant à celle des biberons, les filles peuvent commander avec deux doigts un distributeur d’eau et de bouillie à partir de midi.

Pour l’hygiène mais aussi leur bien être, un appareil fait un petit lavement anal et vaginal (injection et aspiration) avant d’injecter dans les deux orifices une gélule de lubrifiant se rompant au premier choc, chose que les clients apprécient parce qu’ils pensent qu’elles mouillent grâce à eux.

Julie folle de rage se débat mais en vain, elle est bien bloquée et offerte en pâture à des inconnus qu’elle ne verra même pas. Ils vont se servir de moi comme d’un vide couilles sans âme et sans visage, mon avenir ne peut pas être réduit à deux orifices utilisables pour 25 euros payés par carte bleue hurle comme elle le peut Julie désespéré dans son bâillon percé.

Soudain, la machine se met en fonction, deux tubes pénètrent ses orifices, dans son vagin un jet d’eau tiède suivi aussitôt d’une aspiration fait la propreté avant d’injecter une capsule lubrifiante. Lorsque son anus est écartelé, le processus est le même mais bien plus long, bien plus dégoûtant et gênant, tout cela n’est rien à côté de ce qu’il l’attend.

Ecrivaillon

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